Vos enfants font-ils chaque jour de l’activité physique à l’école?
Toutes les provinces ont mis en place des politiques pour que les enfants bougent à l’école. Dans bien des cas, la pratique d’une activité physique quotidienne (APQ) est obligatoire.
Si vous n’avez jamais entendu vos enfants – ou leurs enseignants – parler d’APQ, vous devriez peut-être éclaircir la question, parce que le succès du programme, même s’il est imposé à l’échelle provinciale, n’est pas garanti.
Parfois, l’activité physique est profondément enracinée dans la culture de l’école; d’autres fois, cela dépend de l’enseignant.
Pourtant, la pratique d’une activité physique quotidienne assure que les enfants bougent assez à l’école, où ils passent une bonne partie de la journée. L’éducation physique et les récréations ne suffisent parfois pas à développer leur littératie physique.
Vous vous demandez si votre enfant est assez actif à l’école? Commencez par vous informer des politiques de votre province, puis demandez à rencontrer l’enseignant de votre enfant ou l’administration de son école.
Si vous jugez que les politiques provinciales ne sont pas respectées, vous pourrez ensuite vous allier à des parents qui partagent votre avis pour réclamer à l’école qu’elle propose des programmes d’APQ favorisant la littératie physique.
OPHEA (l’Association ontarienne pour l’éducation physique et la santé) donne de bons conseils aux éducateurs pour faire de l’APQ une priorité.
Vous pouvez également plaider en faveur de la littératie physique en envoyant cette lettre à l’école.
En unissant leurs forces, parents et éducateurs pourront mieux inculquer à tous les enfants de saines habitudes de vie.